L’impression de regarder un film en lisant un livre vous est-elle déjà arrivée ? Parce que moi, je viens d’éprouver celle-ci, c’est plutôt pas mal comme sensation ! Les Hotors m’a transporté comme un film pourrait le faire. Avec des airs de Divergente et une romance touchante, j’ai été agréablement surprise par Les Hotors de Solène Blin. Dès que j’arrêtai ma lecture, je me devais de la reprendre un peu après, je me posais trop de questions et la relation entre Kurtis et Ena m’intriguait beaucoup.
Puis ce monde où il existe une espèce qui chasse et maudit les humains m’a tout de suite attiré, une nouvelle société ou les personnes le plus respectés sont les chasseurs d’Hotors, dit Commandants.
Malgré cette superbe découverte, un seul point m’a un peu chagriné, la fin, à vrai dire les 50 dernières pages, il s’agit peut être de mon cerveau fatigué ce jour là, mais j’ai eu beaucoup de mal à comprendre le dénouement final.
« Les Anges n’ont plus ne sont pas humains. Cela les rend-ils mauvais pour autant? »
« L’Homme a longtemps imaginé son propre prédateur. Monstre diabolique, bête assoiffée de sang, rejeton des ténèbres… Tant de légendes inconcevables. Et pourtant…
On les nomme « Hotors ».
Des créatures humanoïdes cachées parmi les humains pour mieux dévorer leurs âmes. Des loups déguisés en chevreuils.
Au centre d’éducation, j’ai appris ce qu’ils étaient. Au centre d’instruction, j’ai appris à les craindre. Désormais, j’apprends à les haïr. Mais peut-on seulement se haïr soi-même ?
Je suis Ëna Rudler, le nouveau cauchemar de l’humanité. »
Goldish_nib 