Chroniques d’Helrad, Tome 2 : La Caresse de l’ombre // H. P. Odhalis


Déjà je voudrais dire que je n’ai pas lu le tome 1 (arrêtez de penser que je suis une banane, je le sais déjà) mais ce livre me tentait beaucoup. Le problème c’est qu’apparemment le tome 1 est 1000 fois meilleur que le second : un conseil, lisez-ce livre parce que le 2 est déjà vraiment cool. Bref, retournons à notre sujet :

La Caresse de l’ombre est une fantasy très originale !

Nous sommes plongés dans un monde ou les pouvoirs dépendent de l’espèce, capricorne, scorpion, lion, balance. J’ai trouvé ça très intéressant, car l’auteur adapte et travaille le caractère du personnage pour qu’il ressemble également à son signe.

Le Lion par exemple est agressif mais attendrissant à certains égards.

Je n’avais encore jamais lu de livre de ce genre. Dans ce roman on retrouve mon cocktail préféré, action, amour, trahisons et passion.

Le rythme n’est pas le seul bon point de cette duologie. L’héroïne envoie du lourd, j’ai bien accroché à son personnage, une femme badass comme je les aime, forte et stratège.

Pourtant, je n’ai pas été convaincu par la fin ni par l’homme qu’elle choisit, un beau gars, certes, mais TOXIQUE à mort !

« Je préfère te voir morte que dans les bras d’un autre »

Euh ok ? T’aurais dû choisir l‘autre cocotte je dis ça je ne dis rien.

Passons, la trame de ce roman est super addictive et la plume de l’auteure est agréable et fluide, j’ai lu la Caresse de l’ombre sans encombre (ça rime t’as vu).

« Le peuple de l’Ombre et le peuple du Soleil. Qui peut encore se rappeler quand la guerre a commencé ?

Sûrement pas moi.

Dessandra est une nomade qui arpente le monde, refusant de prendre part au conflit séculaire entre l’ombre et la lumière. Pourtant, quand traquée dans le désert, elle se retrouve face à une tempête de sable, elle n’a d’autre choix que de trouver refuge au sein du plus puissant des clans du Soleil. Comment fera-t-elle, elle qui se terre ? Elle, l’ombre aux deux visages, pour survivre face au dirigeant du clan, le majestueux lion Eros Araborn, qui considère que la meilleure manière de résoudre un problème c’est de le manger ?

Les règles sont claires. Des règles tacites et immémoriales que tout le monde connaît : on ne se mélange pas. Et malheur à celui qui passera la frontière ! »

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