Les Faucons de Raverra tome 3 est une belle conclusion à la trilogie.
Apres avoir passé une bonne lecture avec le second tome, j’enchaine avec le dernier. Ce dont j’ai envie de parler en premier est le grand final.
Un sentiment de frustration, d’inachevé s’est emparé de mon corps quand je suis arrivée aux remerciements. C’est un sentiment plutôt commun pour les lecteurs particulièrement lorsque qu’il y a un fond de romance et qu’on ne sait absolument pas comment celle-ci se termine réellement.
Comme je l’avais dit dans ma chronique pour le tome 2, Kathe a su conquérir mon cœur contrairement à Marcello que je trouve fade et sans intérêt. Eh bien, je l’aime encore plus à présent et j’aime encore moins Marcello.
Tout simplement car il descend Amalia, avec lui elle se transforme en jeune fille enamourée assez pénible. Alors que dans ce tome elle saisit pleinement le pourvoir qu’il lui est accordé.
Bon, j’avoue avoir eu quand même un coup au cœur par rapport à ce qu’il subit dans ce tome.
Concernant le rythme de ce tome je dirai qu’il est un peu plus lent que le précèdent sans être ennuyeux non plus. Je n’aurais toujours pas dit non à un peu plus d’émotions et de hargne dans ce tome.
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La magie est peu fréquente dans l’Empire raverrain, et ceux qui naissent avec ce pouvoir sont étroitement contrôlés : repérés dès l’enfance, ils se retrouvent enrôlés de force dans le régiment des Faucons.
Zaira a évité ce sort ; elle a grandi dans les rues en volant pour survivre et en dissimulant sa nature. Mais elle cache une magie rare et dangereuse, une magie qui pourrait menacer l’Empire tout entier.
Amalia Cornaro n’était pas destinée à devenir Fauconnière.
Héritière d’une puissante famille, érudite, elle vit dans le monde dangereux des machinations politiques. Mais le sort va réunir l’héritière et la sorcière en une alliance improbable.
Alors que la menace de la guerre se profile, il pourrait suffire d’une étincelle pour transformer leur cité en un brasier incandescent…
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