Ombres Brumeuses : Sacrée // Céline Mancellon

Les Ombres Brumeuses est une lecture mitigée pour ma part. 

L’univers est plutôt stylé, des clans de loups de vampires on aime.

Mais pas assez exploité, j’aurais aimé que l’histoire soit plus basée sur les intrigues « politiques » et complots que sur la romance, qui est bancale, qu’on se le dise.

La madame veut tous les hommes du monde mais eux, ne peuvent pas aller voir ailleurs.

D’ailleurs j’ai beaucoup de choses à dire sur les personnages amoureux d’Anae.

Déjà le vampire, Liam, le frérot est toxique, un peu maboul sur les bords et très possessif.

Bon pareil pour le louploup, Luc essaye de se donner de la contenance et de la maturité mais s’est plutôt mal amené et ça donne l’effet inverse. 

Fadlan, lui est diffèrent des deux autres prétendants, un peu plus calme mais quelque chose en lui me parait bizarre, comme un sentiment de malaise.

Mon personnage préféré est Keir. Lui c’est mon bro, j’adore son humour et sa complicité avec la protagoniste.

Toutefois, on reste sur une trame basique avec des plot-twist vus et revus et des personnages clichés de bad-boys qui, bien sûr, entretiennent des relations pas du tout saines avec la protagoniste.

Revenons-en au fond, concernant la fluidité de ma lecture je n’ai rien à redire, l’histoire est addictive, avec de l’humour, de la tension et des rebondissements. C’est justement l’écriture qui fait pencher la balance du côté « j’aime » plutôt que du côté « je n’aime pas ».

Les Ombres Brumeuses est un clan très ancien de vampires dont Liam MacDowen est le guerrier. Sa mission ?

Amener Anae à son père, leur chef, car la jeune femme serait une élue. Elément capital pour une descendance puissante.

Un soir, il décide d’agir sous sa forme canine alors qu’elle prend des photos dans une rue déserte.

Cette rencontre marquera un tournant décisif dans leurs vies.

Un vampire tombera amoureux pour la toute première fois.

Une jeune femme découvrira un univers qui côtoie celui des humains depuis la naissance du monde.

Et ce n’est que le début…

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